D - Vendredi 29 oct. 10

La Librairie centenaire Lello, à Porto, est considérée la troisième plus belle du monde par le journal « the Gardian ». Ce journal anglais l’appelle « divine » mais qui apparaît au sommet de la liste, c’est une ancienne église de Maastricht, en Hollande, transformée en maison des livres.

“Pour les Portugais, c’est une raison pour être fier et cela augmente nos responsabilités », dit Antero Braga, propriétaire de la Lello, après avoir su que sa librairie est une référence au niveau mondial. Cependant, la troisième place semble peu : il souligne qu’il ne connaît pas de plus belle librairie en tant que construction d’origine.

Parmi les nombreuses librairies qu’il connaît, Antero Braga fait référence à deux qui se rapprochent de la « divine » Lello. El Ateneo, à Buenos Aires – que The Gardian place à la deuxième place – et la Rizzoli, à New York. Toutefois, la librairie argentine « est un ancien théâtre » qui est désormais habité par les livres, et la Rizzoli, installée dans un édifice d’art nouveau « est plus petite » que celle de la Rue des Carmelitas.

Fondée en 1906, en présence, lors de son ouverture, de Guerra Junqueiro, José Leite de Vasconcelos et Afonso Costa, entre autres, la Librairie Lello qui s’étend sur deux étages conserve sa trace originale. L’édifice issu du projet de Xavier Esteves, a été construit en style néo-gothique. À l’entrée, les visiteurs sont surpris par l’escalier circulaire, les énormes étagères illuminées par la douce lumière de la claire-voie. Parmi les étagères et les étaux, il existe près de « 120 mille titres différents ». Et dans différentes langues, souligne Antero Braga, car une part considérable des clients de la maison vient de l’étranger. En pensant aux touristes, vu que Lello fait partie du guide du routard de Porto, « nous avons des œuvres d’écrivains portugais traduites dans différentes langues ». Contrairement aux autres maisons, grâce au public international, Lello ne présente pas de chute de vente pendant l’Été.

source : 3wportugalvivo.com/spip.php?article2958

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Le premier tramway est apparu à Porto en 1872.

Les “americanos” ont gagné cette désignation parce qu’ils avaient été construits aux Etats-Unis en 1832.

La machine à vapeur est apparue à Porto en 1878 mais ses habitants ne l’ont pas apprécié car elle était bruyante et salissante.

La traction électrique est apparue en 1895 avec la Compagnie des Chemins de Fer de Porto (« Companhia Carris de Ferro do Porto »).

Le tramway 100, un véhicule totalement ouvert, a circulé à Porto, entre 1910 et 1928.

Vous pouvez connaître son histoire ainsi que d’autres curiosités en visitant

le Musée du Tramway(« Museu do Carro Eléctrico ») [/b]

fondé en 1992 par la Société des Transports Collectifs de Porto
(« Sociedade de Transportes Colectivos do Porto »), située au 51 Alameda Basílio Teles.

Un aperçu de ce musée....
"photos montage"


















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